Recherche par mot-clé: ESSAI
1813 résultats. Page 85 sur 91.
Lu par : Jean Frey
Durée : 25h. 34min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17650
Résumé:
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 10h. 6min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18799
Résumé:"Le Combat avec le démon, Kleist, Hölderlin, Nietzsche" : trois destinées fulgurantes et sombres, où les éclairs du génie créateur illuminent des vies brèves, en proie à l'excès, à la démesure, à la folie. Comme il l'a fait dans "Trois poètes de leur vie", Stefan Zweig rapproche ici ces figures animées par un même mouvement intérieur. Pour ces errants, à peu près ignorés de leur vivant, la pensée ou la création ne sont pas cette sereine construction d'un idéal d'harmonie et de raison dont Goethe donne l'exemple accompli ; elles ne peuvent naître que dans le corps à corps avec un démon intérieur qui fait d'eux les fils de Dionysos, déchiré par ses chiens. C'est en romancier, grâce à l'intuition et à la fraternité d'âme, que l'auteur d'"Amok" et du "Joueur d'échecs", fasciné par les dimensions les plus mystérieuses de l'esprit humain, mène ces évocations, dont bien des pages sont d'inoubliables morceaux littéraires.
Lu par : Francine Chappuis
Durée : 2h. 9min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17786
Résumé:En France, tout ce qui pèse et qui compte se veut et se dit " sans frontières ". Et si le sans-frontiérisme était un leurre, une fuite, une lâcheté ? Partout sur la mappemonde. et contre toute attente. se creusent ou renaissent de nouvelles et d'antiques frontières. Telle est la réalité. En bon Européen, je choisis de célébrer ce que d'autres déplorent : la frontière comme vaccin contre l'épidémie des murs, remède à l'indifférence et sauvegarde du vivant. D'où ce Manifeste à rebrousse-poil. qui étonne et détonne. mais qui, déchiffrant notre passé, ose faire face à l'avenir.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 16h. 14min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17675
Résumé:Comment traitons-nous les animaux que nous mangeons? Convoquant souvenirs d'enfance, données statistiques et arguments philosophiques, Jonathan Safran Foer interroge les croyances, les mythes familiaux et les traditions nationales avant de se lancer lui-même dans une vaste enquête. Entre une expédition clandestine dans un abattoir, une recherche sur les dangers du lisier de porc et la visite d'une ferme où l'on élève les dindes en pleine nature, J.S. Foer explore tous les degrés de l'abomination contemporaine et se penche sur les derniers vestiges d'une civilisation qui respectait encore l'animal.
Lu par : Colette Audeoud
Durée : 1h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13154
Résumé:"Je dirais presque qu'il faut un certain talent à ceux qui ont l'intention de passer leur vie ensemble sans mourir d'ennui." Virginibus Puerisque, que l'on pourrait traduire par "aux demoiselles et aux garçons" ou, plus simplement, par "aux célibataires", rassemble quatre essais consacrés à l'épineux problème du mariage et, plus généralement, aux relations entre les hommes et les femmes. Sur le coup de foudre, la jalousie, l'infidélité, ou l'assortiment des goûts, Stevenson livre des aperçus paradoxaux, sans jamais se départir d'un cynisme de bon aloi. Ces textes incompréhensiblement restés inédits en français, sont des merveilles de finesse, d'humour, avec une légèreté dans la profondeur qui porte à son plus haut niveau l'art des essayistes anglais.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h. 12min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17734
Résumé:Violemment secouée, à l'occasion d'une évocation en public de son père récemment disparu, par un tremblement irrépressible accompagné d'une expérience de dissociation, Siri Hustvedt décide, pour comprendre enfin la nature d'un phénomène qu'elle rapproche d'autres états-limites qu'elle a également connus, de prendre la mesure la plus exacte possible de la véritable nature des "gouffres" invisibles qui, hantant, fragilisant et formatant nos existences, sont tapis sous la vie ordinaire, afin d'affronter les mystères du moi. De la neurobiologie à la psychiatrie et à la littérature, une approche, aussi ambitieuse que personnelle, de l'histoire des pathologies mentales au fil d'une réflexion rigoureuse et lucide qui, transcendant la cartographie académique de la souffrance et de l'angoisse, aborde sans détour les rapports de la maladie avec le geste créateur.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 1h. 49min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17550
Résumé:L'invention du mariage d'amour devait répondre aux malheurs du mariage classique : rétablir l'égalité entre époux, privilégier le sentiment sur l'obligation. Mais depuis une quarantaine d'années, la nuptialité décline, le divorce explose, le célibat s'étend, les familles monoparentales se multiplient. Nul besoin de se marier désormais pour vivre ensemble ou avoir des enfants. Comment expliquer cette désaffection alors que l'idéal du couple reste entier ? Sommes-nous si sûrs que le mariage d'intérêt n'a pas d'avenir ?
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 59min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17534
Résumé:"La lecture est un scandale pour les esprits pratiques." Charles Dantzig sait de quoi il parle. Plus d'une fois, dans sa jeunesse, il a dû subir les moqueries ou le dédain de ceux qui avaient des choses à faire autrement plus importantes et urgentes que de bouquiner. Egoïste est aussi le lecteur. "On ne lit pas pour le livre, on lit pour soi." Pour se comprendre, pour se tester, pour se comparer. Il n'est pas interdit d'avoir un peu d'ambition et de lire aussi pour comprendre le monde. Deux pages seulement pour affirmer "qu'on ne lit que par amour". Et de résumer ainsi son observation: "On commence par être amoureux des personnages; on le devient de l'auteur; on l'est enfin de la littérature." (Bernard Pivot, lejdd.fr)
Lu par : Henri Duboule
Durée : 3h. 45min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 17506
Résumé:Entre Clemenceau et Monet, c'est une quête commune de la lumière, à travers l'oeil de Monet et son pinceau, qui règle leur vie et le besoin qu'ils ont l'un de l'autre (" Peignez, peignez toujours, jusqu'à ce que la toile en crève. Mes yeux ont besoin de votre couleur et mon coeur est heureux "), jusqu'à ce que la vieillesse et la cécité conduisent le peintre à s'accrocher à Clemenceau et à son énergie comme à une planche de salut. Son Claude Monet est à la fois l'hommage personnel que sa piété amicale a voulu rendre à l'artiste qui lui avait procuré tant de joie esthétique et au novateur dont l'exemple lui semblait devoir être conservé. C'est à l'instigation de Clemenceau que Monet offrira ses célèbres Nymphéas à la France. Clemenceau est souvent venu rendre visite à l'artiste de Giverny.
Lu par : Laurence Bovay
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 17691
Résumé:Paroles réveillées et recueillies par Lydie Dattas. Transcriptions d'entretiens avec le romancier Bobin, les questions ont été supprimées seules restent les paroles de l'auteur. Il évoque son travail d'écriture, son enfance, ses premières lectures, son goût pour les livres, la poésie, la solitude et la contemplation.
Lu par : Pierre Luisoni
Durée : 39min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18481
Résumé:Le travail doit être maudit, comme l'enseignent les légendes sur le paradis tandis que la paresse doit être le but essentiel de l'homme. Mais c'est l'inverse qui s'est produit. C'est cette inversion que je voudrais tirer au clair.
De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes
Constant de Rebecque, Benjamin de (1767-1830)
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 17min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 17459
Résumé:La liberté qui caractérise les sociétés modernes (Liberté des Modernes) pour Constant peut aisément être considérée comme une liberté négative. Ainsi, ce n'est pas la participation à la délibération commune qui rend un individu libre, mais l'exercice de ses droits et libertés fondamentaux. C'est pourquoi les attributions du Léviathan, que constitue à l'évidence l'État, doivent être bornées. Ces limites ne sont autres que les droits, à la fois, naturels, immuables et universels de l'individu. Ce qui caractérise essentiellement l'homme n'est non pas l'appartenance mais, au contraire, l'autonomie ainsi que la perfectibilité. Loin de devoir entraver les initiatives individuelles, l'État doit en devenir l'auxiliaire. L'artifice étatique n'est qu'un moyen, un instrument, dont la fin est l'individu.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 6h. 42min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17160
Résumé:"Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l'arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l'horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu'ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime."
Lu par : Pierre Biner
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17288
Résumé:" Laissez-vous aller, allongez-vous, ne résistez pas à l'appel de la sieste, à ce plongeon voluptueux dans le sommeil diurne ! Dormez, rêvez, rompez les amarres avec la rive du quotidien chronométré ! Décidez de votre temps, siestez ! " Ce n'est pas un ordre, mais un conseil pour résister à la dictature du temps contraint, pour disposer enfin, selon ses désirs, de ce bien si précieux : le temps. Ce court essai de Thierry Paquot est un plaidoyer pour une maîtrise de l'emploi du temps de chacun par chacun, pour la reconnaissance d'un temps pour rien, mais un rien d'une valeur inestimable : la sieste.
Lu par : Martine Salomon
Durée : 1h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17928
Résumé:A travers la figure d'Erostrate qui, en incendiant le temple d'Ephèse accéda à la célébrité, F. Pessoa propose un essai sur la création littéraire et la reconnaissance de l'écrivain.
Lu par : Christine Leonardi
Durée : 5h. 45min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 17126
Résumé:«J'observe une dégradation de notre rapport au temps. En écrivant ce livre, j'ai simplement voulu attirer l'attention sur notre syndrome collectif de soumission à la vitesse, et sur son corollaire, le « court-termisme » généralisé» dit l'auteur, qui décrit le phénomène avec une métaphore fort efficace : «Nous sommes aujourd'hui les passagers d'une voiture dont la portée des phares diminue en proportion de son accélération». J.-L. Servan-Schreiber
Essai sur l'art de ramper, à l'usage des courtisans
Holbach, Paul Henri Dietrich (1723-1789 ; baron d')
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 31min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17456
Résumé:"De tous les arts, le plus difficile est celui de ramper. Cet art sublime est peut-être la plus merveilleuse conquête de l'esprit humain. L'homme de Cour est sans contredit la production la plus curieuse que montre l'espèce humaine. C'est un animal amphibie dans lequel tous les contrastes se trouvent communément rassemblés. Il faut avouer qu'un animal si étrange est difficile à définir : loin d'être connu des autres, il peut à peine se connaître lui-même ; cependant il paraît que, tout bien considéré, on peut le ranger dans la classe des hommes, avec cette différence néanmoins que les hommes ordinaires n'ont qu'une âme, au lieu que l'homme de Cour paraît sensiblement en avoir plusieurs. En effet, un courtisan est tantôt insolent et tantôt bas ; tantôt de l'avarice la plus sordide et de l'avidité la plus insatiable, tantôt de la plus extrême prodigalité, tantôt de l'audace la plus décidée, tantôt de la plus honteuse lâcheté, tantôt de l'arrogance la plus impertinente et tantôt de la politesse la plus étudiée",
Lu par : Denise von Arx
Durée : 3h. 18min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 17066
Résumé:Comment les professeurs universitaires des « meilleures » universités technologiques mondiales peuvent-ils encore trouver le goût d'enseigner ou la sérénité pour penser alors quils passent le plus clair de leur temps à rechercher des fonds, à faire du « management » et du « marketing »? Sous quelle forme se présenterait une université sans « controlling bureaucratique »? Le système universitaire actuel ne signe-t-il pas la mort de l'imagination et de la liberté nécessaires à la création intellectuelle ? C'est à ces questions cruciales que Libero Zuppiroli répond avec une riche matière à réflexion et un humour plein d'inventivité.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 11h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16933
Résumé:Qu'y a-t-il de commun entre des livres de cuisine, une scène érotique méconnue de la littérature du XVIIIe siècle, les plaisirs du tabac, l'art de placer l'e muet, Venise, l'usage astucieux des maladies, le goût du champagne, Stendhal et les curieux pouvoirs esthétiques de l'ennui ? Un regard. Le regard, paradoxal, capricieux, érudit et inattendu de l'auteur de ces essais. C'est tout un monde qu'ils font défiler sous nos yeux, intérieur et pourtant ouvert aux plaisirs de la vie, terrestres comme spirituels. Et c'est à un voyage surprenant et délicieux qu'ils nous convient.
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 13min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16899
Résumé:Où en est l'art de raconter des histoires, à l'heure où guerres et forteresses régissent un monde financièrement globalisé ? Où se trouvent identité et imaginaire, dans un monde dévoué au langage de communication et de communauté ? Quels contes construisent le monde de demain ? Dans son nouvel essai, « La Cité des mots », l'intellectuel canadien Alberto Manguel envoie ses sondes. (Texte d'une série de conférences prononcées en 2007 à Toronto dans le cadre des Massey lectures)